Le forum de Bienvenue à Bébé
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Bonsoir,
Je relisais le post envoyé il y a 8 mois et je me demandais ce qui avait changé/évolué dans ma "façon" de faire ou d'intervenir.
Après avoir lu puis écouter différents témoignages, je ne réussis pas à savoir ce qui est "bien" ou...moins "bien".
Il y a une semaine peut être, j'étais à la poste, enfin, peu importe où je me trouvais.
J'entends un enfant, pleurer...pleurer de plus en plus fort puis hurler et une personne/adulte crier encore plus fort. Je me suis levée pour aller voir et j'ai vu...je me suis approchée de la maman, jeune femme d'une trentaine d'années, entrain de hurler sur son petit garçon à peine plus âgé que Luna...elle le tournait de façon très violente face au mur en lui criant qu'il était puni et que c'était elle qui décidait! Mon cœur battait de plus en plus fort, me demandant ce que j'allais bien pouvoir lui dire.
Je lui ai simplement proposé mon aide...sans juger, sans dire quoi que ce soit d'autre. Elle l'a très (très!!) mal pris, m'a répondu aussi froidement qu'elle le faisait avec son fils et m'a juste dit que c'était un caprice, qu'il voulait son blouson et qu'elle ne voulait pas lui donner...et de me mêler de mes affaires. Je lui ai dit qu'il me semblait qu'il souhaitait qu'elle le prenne dans ses bras et là, elle n'a pas été très sympa. Je passe les détails, je suis repartie en me disant que oui, c'étaient mes affaires!! que je n'ai pas été capable de lui dire! je m'en suis voulue, car j'ai senti que mon intervention n'avait rien changé...
Tous les jours, ou presque, je vois des scènes plus ou moins violentes...dans le métro, parc, en ville très souvent...je me sens impuissante et surtout de plus en plus sensible. Parfois, je fuis une maman que je vois avec son enfant, entendant ce qu'elle lui dit car je trouve cela dur.
Et puis après je me dis que si je ne fais rien, je cautionne en quelque sorte...
Voilà mes interrogations, et merci pour vos témoignages qui m'aident à...intervenir malgré tout, avec ce que je suis.
Nathalie et Luna
Dernière modification par nathalie (22-03-2009 22:49:43)
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Nathalie
J'aime beaucoup la theorie de semer des petites graines par une attitude et une ecoute bienveillante envers les enfants qui sont "victimes". Mais dans la pratique, j'imagine que tu ne peux pas faire passer ton message car ces parents enervés par leurs enfants (car englués dans leurs propres pbs) ne peuvent pas t"ecouter. Ils ne sont pas disponibles mentalement pour entendre ton message. J'ai rarement assisté à ce genre de scene mais je crois qu'un sourire et un regard chaleureux vers l'enfant peut peut-etre l'aider à se sentir mieux. Je ne sais pas si je serais capable d'intervenir plus en m'adressant à la mère.
Une chose est sure, imagine l'inverse, une maman qui un jour te regarde toi et Luna. C'est la que tu va lui montrer qu'une autre façon de faire est possible. Tu fais plus en étant toi meme qu'en faisant du "prosélytisme" (je ne sais meme plus comment ça s'ecrit!). Sans faire de discours mais par l'exemple tu pourras lui permettre de comprendre et de se remettre eventuellement en question. Continue juste comme tu fais ;-)
bises à toutes
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Céline, merci pour ton message.
Juste, je ne suis pas certaine que mon sourire (quoi que dans la situation là, je n'avais pas le sourire aux lèvres...), aurait servi à "soulager" ce petit garçon ou même, je ne suis pas sûre du tout qu'il l'aurait vu. Et puis, la compassion, je suis d'accord mais il m'arrive de plus en plus d'intervenir, sans doute que c'est ma façon à moi de faire bouger les choses (à mon tout petit niveau).
Merci,
Nathalie
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Se sont des situations qui me bouleversent et me touchent beaucoup aussi... Je suis sans mots car il me semble être dans le même cas que toi!!! Et mes interventions ne semble pas non plus bienvenue ou comprises!
Je ne dirai qu'une chose:
Je te comprend, je t'approuve et je te soutiens... (Caro si tu me lis...)
A bientôt
Magalie
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Je ne sais que dire non plus.
Pourquoi pas y réfléchir ensemble lors d'une rencontre sur ce thème ? Éventuellement y inviter des personnes plus spécialisées (centre de la non violence) ?
Je n'ai pas envie de laisser en friche...
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ah oui, je trouve ça une bonne idée d'organiser une rencontre avec le centre de la non-violence de colomiers sur ce sujet/cet exemple !
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Pareil, ça m'intéresse beaucoup !
Dalphée
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Moi aussi
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Bonjour,
Je reviens ici parce que depuis que tu m'as raconté cette scène et que tu l'as écrite là, Nathalie, je cherche quoi dire.
Je ne sais pas ce que je dirais, mais voilà ce que j'aimerais dire/faire :
J'aimerais être capable d'entendre les émotions des deux personnes,
- celles de l'enfant, parce qu'il a besoin d'être 'sauvé', comme l'écrit Alive Miller, de croiser sur son chemin quelques fois une personne qui lui dit ou lui fait sentir que ça n'est pas acceptable ni normal ce qu'il vit, qu'il est victime et non coupable (l'enfant se convainc qu'il est coupable, pour survivre : il ne peut pas penser que ses parents font mal, il est trop dépendant d'eux). Pour qu'il y ait quelque part en lui cette inscription, que quand il sera plus grand, il puisse aller lui aussi voir ce petit enfant en lui, celui qu'il a été, et qu'il puisse lui 'dire' qu'il reconnait sa souffrance. Alors il lui sera possible de rompre le cercle de la violence ordinaire et de se réparer.
- le parent...il est en plein dans ce cercle...Je voudrais arriver à me concentrer sur ses émotions, sinon, je vais avoir envie de l' 'attaquer', oui, si j'entends ce qu'il dit ou fait. Et pour être régulièrement attaquée sur notre façon de parenter, je sais combien c'est blessant quand on n'a pas encore les moyens que notre confiance en nous soit bien là. Alors si je le blesse, alors qu'il souffre déjà, je risque de faire le contraire de ce que je veux essayer. Je voudrais voir en lui ses souffrances, qui font que les émotions et les besoins de son enfant lui sont insupportables.
Et comme j'écris 'besoins', je réalise que je voudrais essayer aussi d'entendre les besoins que peut-être là maintenant, je peux combler : celui d'être entendu dans ses émotions 'vous êtes très fatiguée de faire la queue et entendre les cris de votre petit'... ; d'être rassuré : 'mon petit garçon non plus ne supporte pas d'attendre si longtemps quand il fait si chaud/qu'il est si tard'... ; d'être soutenu : 'passez devant moi, aujourd'hui je me sens la patience d'attendre!'... ; d'être rassuré parce qu'embarrassé : 'vous faites très attention à ce que votre enfant ne nous dérange pas, c'est gentil, mais je ne suis pas embêtée qu'il exprime ses émotions, moi aussi quand je suis terriblement impatiente/fatiguée/, j'ai bien envie de crier très fort !!'
Quelque chose comme ça...
Ce serait très intéressant d'y réfléchir ensemble ! Peut-être qu'on pourrait organiser ça un mercredi, si Nathalie tu as envie d'être là aussi?
Dalphée
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merci Dalphée.
j'y ai repensé aussi...
quand je suis "énervée" par une réaction de mon enfant, j'ai parfois la voix qui monte (par exemple quand je sais que je n'ai pas le temps d'accueillir sa réaction, parce que j'ai "dix mille choses urgentes à faire", ou même une seule !), et après avoir haussé le ton (ce qui me soulage et me pèse à la fois), je me dis "j'espère que personne ne m'a entendue", parce que j'ai l'impression que si qq'un-e m'a entendue et bien je me sentirais encore plus honteuse et que je me sentirais étiquetée comme une "mauvaise mère" ? alors si qq'un-e me fait une réflexion qui va dans ce sens, je vais peut-être moins m'aimer en tant que maman, avoir moins confiance en mes compétences, moins aimer mon enfant de m'avoir mise dans cette situation ?
bien sûr, la situation n'est pas la même: je n'ai pas de gestes violents, mes mots ne sont pas "injustes" ni méchants, et mon enfant n'a pas l'air effrayé (je me rassure !), c'est juste mon agacement qui sort de façon un peu trop forte, mais quand même, il y a peut-être quelque chose qui s'en rapproche ?
j'en parlais à qq'une aujourd'hui qui me disait " il faut peut-être commencer par dire à cette maman "ah, ce n'est pas facile..." "
ça m'intéresserait qu'on en parle ensemble avec qq'un-e du centre de la non-violence, ils ont de l'expérience, et ils proposent souvent des rencontres avec des thèmes et intervenants très intéressants, mais pas accessibles à des "familles" (avec possibilité que les 2 parents puissent venir avec leur-s enfant-s qui jouent, tètent... à côté)
il me semble qu'il y a une rencontre autour de l'éducation non-violente ce vendredi aux pavillons sauvages avec bébé au naturel ?
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Merci pour vos réponses...alors oui je suis intéressée par une rencontre un mercredi car je ne suis pas disponible le reste de la semaine, hélas!
J'ai lu et relu des témoignages concernant "une attitude" à adopter mais dans les faits, là sur le moment, que faire et que dire?...j'essaye de contrôler de plus en plus, de ne pas juger, de ne pas prendre partie et de tenter de proposer mon aide mais ça ne fonctionne pas.
Je me mets à la place de cette maman...oui ce ne doit pas être évident d'être interpellée de la sorte mais je ne parviens pas à passer à côté sans rien dire. Et, encore une fois j'aurais la sensation d'accepter, de cautionner cela.
Il y a aussi le fait de se sentir très mal physiquement...lorsque je me suis approchée de cette femme, j'ai bien cru ne pas réussir à sortir un mot de ma bouche tellement c'était dur!!
Au final, je suis quand même...je ne trouve pas le terme, je ne passe plus à côté en tous cas de ce genre de situation.
Je comprends aussi ce que tu écris Laurence, oui.
Merci Dalphée pour ce que tu écris, oui je me rappelle des termes d'Alice Miller.
C'est une bonne idée en tous cas de proposer une rencontre autour de cela, et j'espère qu'elle se fera...un mercredi!!
Bonne soirée,
Nathalie
Dernière modification par nathalie (30-03-2009 22:14:53)
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Bonsoir,
je trouve cette idée de rencontre très intéressante!!!
Nathalie, j'en profite pour te dire que j'essaye de t'envoyer un mail depuis plusieurs jours sans succès ;-(...
Bises
Cécile
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Si, finalement, j'ai été tout recemment temoin d'une des ses scenes de violence ordinaire. A la creche, au moment ou les parents viennent cherhcer leurs enfants et ou les enfants sont plus ou moins excités, j'ai entendu tout d'un coup un papa élever la voix (fort, toute la salle a entendu) en tapant son fils et en lui disant qu'il ne fallait pas taper (enorme contradiction !!). Il reprochait à son fils de l'avoir tapé dans le dos et donc il l'engueulait soudain et lui donnait une grosse tape sur le derriere. Alors la effectivement je suis restée sans voix. Je n'ai pas su comment intervenir, d'autant que je n'avais pas vu le geste incriminé du garçonnet ... mais à mon avis il n'avait jamais voulu intentionnellement taper son papa, c'est pour ça d'ailleurs que l'enguelo et la fessée parraissaient tres injustes et tres demesurés par rapport au geste du fiston. Malheureusement aucune autre personne n'est intervenue et le garçonnet s'est donc mis à plat ventre sur le sol et a pleuré tres bruyamment, ça me fendait le coeur. L'attitude (la posture d'assurance et le regard semi amusé et le sourire "entendu") qu'a pris le papa m'a semblé odieuse et mettait à distance toute personne... j'ai été très lache et je n'ai rien dit. Ca me met vraiment mal à l'aise rien que d'y repenser.
Effectivement Nathalie tu souleves la un gros probleme. Il va falloir que je refechisse serieusement à ce que je pourrait faire la prochaine fois que je cela arrive. (J'avais l'impression d'être bloquée moi aussi, pas de mot, aucune repartie) (et effectivement je ne devais pas etre souriante sur le moment moi non plus)
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Bonjour à tous!
Alors voilà, j'ai un soucis dans le même genre sauf que ce sont des ... amis à nous. Ils ont 2 garçons (l'ainé à l'age de Maëlle) et on fait beaucoup de choses avec eux. Le problème est qu'ils élèvent leurs gars à coup de: "1,2,3 ..." et "si tu continues... t'en prend une".
J'ai tenté de prêter le livre de Gordon à la maman qui est un peu plus douce mais elle me l'a rendu en disant que ces choix éducatifs ne lui convenaient pas du tout et que pour elle, un enfant doit apprendre à obéir...
Bref je ne sais pas trop quelle position adopter. J'ai expliqué à Maëlle que certains parents élevaient leurs enfants comme ça et que c'était quelque chose qu'on refusait pour notre famille et que j'avais de la peine pour le petit garçon. Quand au petit, si j'ai une remarque à lui faire, je le fais à ma manière en espérant que les parents s'aperçoivent que c'est efficace (il est très réceptif).
D'autres idées?
Si vous faites cette rencontre, j'aimerais bien un petit résumé pour avoir les infos à distance...
C'est dur à dire mais ça m'explique aussi pourquoi l'école est si violente pour les enfants... ils doivent ressortir toute la violence entrée vers les autres enfants. Algrid, on a prit la même décision que toi, on a retiré Maëlle de l'école et ça va beaucoup mieux. On verra en septembre ce qu'on fait.
On pense à vous
Chloé
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Bonsoir,
Je trouve que dans beaucoup de situations, c'est finalement très difficile d'intervenir sans blesser l'un ou l'autre, le parent ou l'enfant.
Mon compagnon s'est retrouvé dans une situation, chez un ami à lui où ça ne se passait pas très bien avec ses deux enfants...et il m'a avoué avoir eu beaucoup de mal à être spectateur. A plusieurs reprises, il s'est rapproché du plus âgé des deux, en lui parlant simplement et c'est tout. Et c'est super je trouve! suffisant? je ne sais pas...je reste dans ce questionnement et attend avec impatience une rencontre à ce sujet.
A bientôt,
Nathalie et Luna
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Salut!
Je reste aussi dans ce questionnement!
D'un coté je ne supporte pas de voir les enfants recevoir des brimades mais en même temps, je n'arrive pas à trouver quelle attitude avoir sans mettre en porte-à-faut les parents ou sans paraitre juger leur façon de faire (parce que j'ai peur de faire plus de mal que de bien finalement).
A bientôt
Chloé
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Bonsoir,
Je crois que de toutes les façons, qu'on se tourne vers l'enfant ou vers son parent, on risque de blesser...c'est mon avis.
Par contre, je me sens plus à l'aise d'intervenir face à des "inconnus"...plus à l'aise, pas franchement mais je me pose moins de questions en tous cas, j'y vais au risque d'être aussi mal considérée que l'enfant!
J'attends des nouvelles de la réunion dont il était question à un moment donné?
A bientôt...
Nathalie et Luna
Dernière modification par nathalie (22-04-2009 22:45:37)
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Est ce que quelqu'un a un ou des contacts au centre de la non violence ? (pas moi pour l'instant, et je crois que Lætitia oui mais elle est sans doute occupée là !)
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ne pas réagir c'est risquer d'être complice... de laisser croire à l'enfant que la réaction de l'adulte est normale, qu'il l'a "bien cherchée"... réagir c'est risquer d'être violent pour l'adulte qui a réagi ainsi... et par retentissement sur l'enfant... où est la solution ???...
et puis la violence commence plus tôt que les exemples donnés ci-dessus... durant la grossesse, à l'accouchement... durant les 1ers jours, 1ères semaines, 1ers mois, bien avant les paroles... j'y ai pensé hier quand j'ai entendu une maman d'un bébé de 2 mois qui pleurait lui dire "ce n'est pas l'heure de manger"... Quand on sait que la douleur de la faim est très forte chez un tout-petit, et que son besoin de câlins est très fort aussi, n'est-ce pas violent que de lui refuser ?? je lui ai demandé "est-ce la pédiatre qui a dit qu'il fallait qu'il mange à heure fixe ?", elle m'a répondu "non, la pédiatre a dit qu'il mange quand il en a envie, mais avec les deux (ce sont des jumeaux) je ferai que ça de mes journées si je leur donnais le biberon à la demande". que dire ? je n'ai pas l'expérience quotidienne des jumeaux... et chacun a des limites différentes. j'espère juste que mon étonnement lui aura ouvert une fenêtre pour être un peu moins stricte, un peu plus à l'écoute ?
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bonsoir,
Lau a écrit:
elle m'a répondu "non, la pédiatre a dit qu'il mange quand il en a envie, mais avec les deux (ce sont des jumeaux) je ferai que ça de mes journées si je leur donnais le biberon à la demande".
Elle a raison; elle ne ferait pratiquement que ça des ses journées. Mais aussi, qu'il faut écouter le pédiatre.
Lau a écrit:
que dire ? je n'ai pas l'expérience quotidienne des jumeaux... et chacun a des limites différentes.
Lui dire, qu'elle peut être assistée par une assistante maternelle ou une travailleuse familliale. La prestation est prise en charge par la Sécu. Elle peut être renouvellée sur avis médicale.
Lui dire aussi qu'il y a une association pour les parents de jumeaux et plus sur Toulouse : www.jum31.fr/
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bonjour, et merci pour ce partage d'expérience et "pistes".
pour la pédiatre qu'il faut écouter... euh les pédiatres ne sont pas toujours à écouter ! alors je ne peux pas dire ça quand ça arrange mes convictions et le contraire quand mon idée est différente !!
ah oui, je n'avais pas pensé à la travailleuse familiale qui vient à la maison aider. pour l'instant le papa est là parce qu'au chômage mais ça pourrait les rassurer pour après.
ils sont sur lyon, et pour les coordonnées d'assos de jumeaux et autres, je leur avais données pendant la grossesse mais je n'ai pas l'impression qu'ils aient pris contact ?
peut-être que face à un-e maman/papa qui "pète un plomb" à la poste ou ailleurs, on peut aussi d'abord reconnaitre son quotidien, ses réalités, puis, si la conversation s'engage et que la-le maman/papa semble demandeuse-eur et à l'écoute, lui proposer des personnes, associations, services, qui peuvent l'aider, l'accompagner, ou tout simplement lui permettre de se changer les idées, de s'aérer, de passer des beaux et bons moments avec son enfant, rire ou s'émerveiller ensemble, regarder dans la même direction, écouter ensemble, se sentir "bon parent", compétent, découvrir son enfant avec un autre regard.......
Dernière modification par Lau (29-04-2009 14:51:55)
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Lau a écrit:
pour la pédiatre qu'il faut écouter... euh les pédiatres ne sont pas toujours à écouter !
Tout à fait d'accord. Mais question nourriture, il a raison.
Dommage qu'elle ne les allaite pas ... ça simplifie la préparation du biberon. D'un autre coté, le papa peut donner le(s) biberon(s).
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Bonsoir,
Je n'ai plus aussi souvent le temps et l'énergie d'être sur l'ordinateur le soir mais, parfois je jette un œil à cette discussion et j'aimerais vraiment que quelque chose puisse avoir lieu...un jour?
Y a t-il des nouvelles? faut il se mettre en contact avec quelqu'un?
A bientôt.
Nathalie et Luna
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Bonjour,
Alix a des contacts avec le centre de la non violence ; Lætitia aussi me semble t il.
Si l'une ou l'autre lit (ou quelqu'un qui les connait)... la demande est la suivante (Nathalie, tu complètes ou corriges, hein) :
nous aimerions organiser une réunion / rencontre avec une ou des personnes du centre de la non violence pour réfléchir ensemble à "faut il réagir lorsque nous sommes témoins d'une scène de vie empreinte de violence ordinaire et si oui, comment, de manière à respecter l'enfant, le parent et leur relation ? (si non, comment gère t on intérieurement ce constat d'impuissance ?)"
Merci d'avance !
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